dimanche 28 décembre 2025
À peine un an après son arrivée au pouvoir, le président indonésien Prabowo Subianto multiplie les initiatives diplomatiques tout en suscitant de vives inquiétudes. La décision controversée d’élever l’ancien dictateur
Le nouvel ouvrage « M. S. Swaminathan : The Man Who Fed India » (« l’homme qui a nourri l’Inde ») rend hommage à l’un des plus grands scientifiques agricoles de l’Inde. Écrit par sa nièce, la chercheuse Priyambada Jayakumar, il dresse un portrait profondément humain de cet agronome et offre l’occasion de revenir sur l’histoire décisive de la Révolution verte en Inde, à la fois saluée et controversée. Si de nombreux ouvrages existaient déjà sur ce chapitre de l’histoire de l’Inde, très peu s’étaient réellement consacrés à l’homme lui-même.
Au Bangladesh, trois attaques en près d’un mois ont secoué la communauté chrétienne de Dacca, la capitale, et font craindre de nouveaux troubles à quelques semaines du temps de l’Avent
L’Église japonaise projette de créer un nouveau chemin de pèlerinage dans le sud du pays, en l’honneur des « chrétiens cachés » ou « Kakure Kirishitan », entrés dans la clandestinité au XVIIe siècle à cause de l’interdiction du christianisme et des persécutions. Le nouvel itinéraire s’inscrit dans l’esprit du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle et sera appelé « La Voie de l’Évangile ». Le chemin de pèlerinage reliera Kagoshima et Nagasaki, en passant par des sites associés aux premiers missionnaires.
Selon les nouveaux chiffres publiés le 4 novembre à New Delhi par le Forum chrétien uni (UCF, une organisation œcuménique fondée en 2014 dans le but de défendre les droits des
Retour sur les 60 ans de la publication de la déclaration Nostra Aetate « sur les relations de l’Église avec les religions non chrétiennes », célébrés Le 28 octobre à Rome, où le pape Léon XIV a souligné que les religions du monde entier ont toute une « mission commune ». En présence d’environ 300 responsables religieux, il a en effet appelé à « réveiller » le sens du sacré dans le monde d’aujourd’hui, en rappelant « la force de la prière » au service de la paix, dans un monde qui « a besoin d’une véritable et solide ère de réconciliation ». Cette semaine, retrouvez aussi un « grand entretien » vidéo exclusif avec Mgr Machado, ancien collaborateur du dicastère pour le Dialogue interreligieux.
Au Vietnam, la souffrance partagée devient un terrain fertile pour la fraternité entre religions. Face aux guerres, aux catastrophes naturelles et aux blessures de l’humanité, croyants et non-croyants découvrent que la compassion peut unir plus que la doctrine ne divise. Pour sœur Marie Hai Chau, religieuse des Servantes du Saint-Sacrement dans le diocèse de Xuan Loc, la douleur humaine, accueillie avec un cœur compatissant, peut devenir un pont d’espérance et de coopération interreligieuse.
À l’occasion du 50e anniversaire des relations diplomatiques entre le Sri Lanka et le Vatican, Mgr Paul Gallagher, secrétaire du Saint-Siège pour les relations avec les États et les organisations internationales, est en visite officielle dans le pays d’Asie du Sud jusqu’au 8 novembre, afin de renforcer l’engagement commun avec Colombo en faveur de la paix et de la coopération. Il a notamment rencontré le président Anura Kumara Dissanayake, à la tête de l’État depuis septembre 2024. Il a aussi visité les sites des attentats de Pâques 2019.
Ce jeudi 6 novembre, le bilan des victimes du typhon Kalmaegi était d’au moins 140 morts et 127 disparus aux Philippines. La catastrophe a frappé le centre du pays, causant des
Ce samedi 1er novembre, le pape Léon XIV a déclaré officiellement saint John Henry Newman comme docteur de l’Église et copatron de l’éducation catholique (aux côtés de saint Thomas d’Aquin). Une figure de sainteté qui a inspiré beaucoup de convertis du protestantisme au catholicisme. Parmi eux, Kao Chih Hao, un Taïwanais de 24 ans de la paroisse du Saint-Rosaire de Taipei, devenu catholique récemment, et fortement inspiré par les enseignements et le courage du saint britannique.
Dans le centre du Vietnam, à proximité de l’ancienne capitale impériale de Hué, se trouve un ancien village de pêcheurs dont le cimetière est surnommé la « cité des fantômes ». Les habitants, qui ont pour réputation de mieux traiter les morts que les vivants, y ont construit de nombreuses sépultures somptueuses, richement colorées et ouvragées, à l’aide des dons envoyés par leurs proches depuis l’étranger. Aujourd’hui, le cimetière s’étend sur le littoral sur près de 250 hectares.